Exploring the Potential of Neuromodulation

In this captivating testimonial video, a dedicated case manager from the Douglas Hospital’s outpatient clinic L’Étape, shares a heartwarming success story of a patient living with schizophrenia, highlighting the typically daunting negative symptoms. Experience the awe-inspiring change as she discusses the profound influence of neuromodulation treatment on her client’s well-being, providing a glimpse of optimism and enlightenment for what lies ahead. 

By Hani Abdelhafez

Learn more about our neumodulation study here: https://ceymh-cesmj.ca/research/

Watch the video on YouTube: https://www.youtube.com/watch?v=z28Ww0Q94PY

Follow along in English:

Hi, my name is Eva Gifford. I’m an occupational therapist and case manager at the Douglas Institute Psychotic Disorders Outpatient Clinic. As an OT working with people with psychotic disorders, I have a lot of first-hand interaction with people who are having difficulties functioning because of their psychotic disorder. So there’s been a lot of advancements in treatment for people with schizophrenia and other psychotic disorders, particularly with regards to positive symptoms like hallucinations and delusions. However, less has been done to treat the negative symptoms of schizophrenia and other disorders. Negative symptoms include things like social withdrawal, difficulty communicating and expressing oneself, decreased motivation and follow through for objectives and goals, and decreased pleasure in life. So as you can imagine, these have wide and far-reaching implications for function in all spheres of life like self-care. So a person might struggle to motivate themselves to take a shower or change their clothes. They might also struggle to find and maintain work, continue their education, keep their house clean or do groceries, or see friends or exercise. All important things we want to do in life to have a good quality of life. The good news is that rTMS is a new innovative technology which is non-invasive, non-pharmaceutical and has already shown positive results in the treatment of depression. In fact, it’s approved for treatment of depression in Canada. I have a client, just to illustrate how it’s going, who was doing four hours of volunteer work because she wanted to get implicated in the community and she was finding the four hours per week challenging. Following her trial with rTMS, she’s now hoping to work part-time and even wants to become a peer mentor to share her experiences with others. So this is the good news, is that there is this positive treatment that’s coming forward. What we need are more people to volunteer to participate in the research so that we can help bring it into mainstream treatment. 

So in my professional experience I’ve noticed a lot of improvements for treatment with psychotic disorders but particularly for the positive symptoms. We still have a long way to go when it comes to treating negative symptoms which are those that actually impact a person’s functioning very importantly. The negative symptoms cause difficulty with people organizing themselves, motivating themselves to do things, connecting with others and with communication. So we do definitely need advancements with regards to treatment of negative symptoms because of the huge disability that can cause somebody over a long-term function period. And so far, I’ve had really great feedback from my clients about the rTMS therapy. For example, I have one client who she’s a very special person who was trying so hard to become more active in the community which also as an aside helps her with her positive symptoms which are the voices and the delusions but she was only ever able to do about four hours of volunteer work per week. Once she underwent the rTMS therapy which she had only positive things to say about she now wants to work part time and she’s hoping to even become a peer mentor to lift up others in the community. So, I have a lot of positive hope about this treatment and I am excited for the future avenues. 

 

Suivez en français :

Bonjour, je m’appelle Eva Gifford. Je suis ergothérapeute et gestionnaire des cas à la clinique externe des troubles psychotiques à l’Institut Douglas. En tant qu’ergothérapeute travaillant avec des personnes atteintes de troubles psychotiques, j’ai beaucoup d’interactions directes avec des personnes qui ont des difficultés à fonctionner en raison de leur trouble psychotique. Il y a donc eu beaucoup de progrès dans le traitement des personnes atteintes de schizophrénie et d’autres troubles psychotiques, en particulier en ce qui concerne les symptômes positifs comme les hallucinations et les délires. Cependant, il y a moins de progrès concernant les traitements qui visent les symptômes négatifs de la schizophrénie et d’autres troubles. Les symptômes négatifs peuvent impliquer le retrait social, la difficulté à communiquer et à s’exprimer, une diminution de la motivation et du suivi des objectifs et des buts, et une diminution du plaisir dans la vie. Donc, comme vous pouvez l’imaginer, ceux-ci ont des implications larges et profondes quant à la fonction dans toutes les sphères de la vie y compris le soin personnel. Donc, une personne peut avoir du mal à se motiver à prendre une douche ou à changer de vêtements. Ils peuvent également avoir du mal à trouver et à conserver du travail, à poursuivre leurs études, à garder leur maison propre, à faire l’épicerie, à voir des amis et à faire de l’exercice ; toutes actions importantes que nous voulons faire dans la vie pour avoir une bonne qualité de vie. La bonne nouvelle est que la SMTr est une nouvelle technologie innovante qui est non invasive, non pharmaceutique et a déjà montré des résultats positifs dans le traitement de la dépression. En fait, il est approuvé pour le traitement de la dépression au Canada. J’ai une cliente, juste pour illustrer comment ça se passe, qui faisait quatre heures de bénévolat parce qu’elle voulait s’impliquer dans la communauté et elle trouvait ces quatre heures par semaine difficiles. Après son essai avec SMTr, elle espère maintenant travailler à temps partiel et veut même devenir mentor pour partager ses expériences avec les autres. Donc, le fait qu’il y a un traitement positif qui se manifeste est une bonne nouvelle. Tous ce dont nous avons besoin, c’est que plus de gens se portent volontaires pour participer à la recherche afin que nous puissions aider à l’intégrer au traitement général. 

Donc, dans mon expérience professionnelle, j’ai remarqué beaucoup d’améliorations pour le traitement des troubles psychotiques, mais surtout pour les symptômes positifs. Nous avons encore un long chemin à parcourir lorsqu’il s’agit de traiter les symptômes négatifs, qui ont un impact très important sur le fonctionnement d’une personne. Les symptômes négatifs causent de la difficulté à s’organiser, à se motiver à faire des choses, à se connecter avec les autres et à communiquer. Donc en raison que ces symptômes causent un énorme handicap sur le fonctionnement à long terme, nous avons donc certainement besoin de progrès en ce qui concerne le traitement de ces symptômes négatifs. Jusqu’à présent, mes clients qui ont fait le SMTr ont eu d’excellents commentaires sur la thérapie SMTr. Par exemple, j’ai une cliente qui est une personne très spéciale qui essayait tellement de devenir plus active dans la communauté, car ceci l’aide avec ses symptômes positifs de voix et des délires, mais elle s’est trouvée incapable de faire plus d’environ quatre heures de bénévolat par semaine. Une fois qu’elle a suivi la thérapie SMTr, elle n’avait que des choses positives à dire. Maintenant, elle veut travailler à temps partiel, et elle espère même devenir un mentor pour élever les autres dans la communauté. J’ai donc beaucoup d’espoir à propos de ce traitement et je suis enthousiaste pour les futures avenues.